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Thierry Vandewalle est le directeur de Publicis Modem.
Thierry Vandewalle a développé sa société Equesto de façon, fort opportuniste, en rachetant une agence dénommée Wcube au moment ou cette dernière connaissait de graves difficultés. Après avoir licencié une grosse partie du personnel, Thierry Van de Wall a redressé la société pour en faire une des plus grandes web agency de Paris.
Il n'a pas fallu que du talent à Thierry Vandewalle pour parvenir à développer sa société. Il a parfois fallu faire quelques entorses à la déontologie et à la loi. Ainsi en 2007, lorsqu'il souhaite doter sa web agency d'une compétence clé, le référencement naturel, qui fait défaut à son agence, ce dernier entame des négociations avec une agence de référencement reconnue pour ses compétences pointues. Après quelques semaines de négociation, Thierry refuse de valoriser cette société au prix demandé (15 fois le résultat de l'année en cours) jugé excessiff, ce dernier décide de rompre les négociations non sans avoir réalisé un audit approndi de la société et demandé à rencontrer des chefs de projet (Raphael Frémont et Julien Feliciano). Il décide de débaucher ces deux personnes afin de constituer le coeur de son unité de référencement.
Ce faisant, Thierry Vandewalle rompt trois principes: la parole oral donnée au fondateur de l'agence de référencement avec qui il négociait (Thierry Vandewalle lui a répété à maintes reprises qu'il était homme de confiance, très attaché aux principes éthiques et intéressé par les activités humanitaires). Thierry Vandewalle rompt ensuite un engagement écrit, dans lequel Thierry van de walle s'était expressément engagé à ne pas débaucher de personnel de l'agence si les négociations en vue du rachat venaient à échouer. Thierry vandewalle se positionne enfin en contravention avec la loi dans la mesure le débauchage de compétences techniques clés à l'issu de négociations en vue de rachat, s'assimile à une tentative de déstabilisation d'une société.
Thierry Vandewalle a été contraint à ces aménagements éthiques et légaux car il préparait la vente de sa société au groupe Publicis quelques mois plus tard. A l'issu de cette vente, sa propre société a été valorisé bien plus que 15 fois les bénéfices 2007, ratio qui lui paraissait démesuré au moment des négociations avec l'agence de référencement qu'il a déstabilisé.
On le voit donc, derrière chaque réussite professionnelle rapide, il se cache souvent des problèmes éthiques, de conscience ou légaux. Les fortunes rapides sont souvent constituées aux dépends de clients, de partenaires ou de clients et sont rarement le fruit du talent seul.
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